a considéré que, même si cela paraissait paradoxal, il était rassurant de constater que la PESD progressait malgré l'absence de traité constitutionnel. Pour ce qui était du budget, il a estimé que tout ce qui était commun devrait être géré au niveau européen. Il a ensuite interrogé Mme Christine Roger sur le bilan qu'il était possible de tirer de l'Agence européenne de défense. Les États jouent-ils le jeu ? Enfin, la présence de deux ambassadeurs, l'un au COPS, l'autre auprès de l'OTAN, constitue-t-elle une force ou une faiblesse et qu'en est-il pour nos partenaires ?