a rappelé qu'aux termes des statuts le groupe Lagardère avait le pouvoir de proposition des nominations au « board ». Il a fait valoir que l'appréciation des propositions en ce domaine ne relevait pas de sa compétence. Néanmoins, il a estimé que l'Etat pourrait toujours s'opposer à des propositions de Lagardère quant à la composition du conseil d'administration d'EADS. Il a précisé, cependant, que toutes les propositions présentées en la matière, à ce jour, par Lagardère, avaient fait l'objet d'une concertation avec l'Etat.