s'est tout d'abord félicité de la déontologie des services du ministère de l'économie, qui conservaient tous documents, même en l'occurrence un « mémo » informel. Il a indiqué que le contenu de ce « mémo », qui datait de près d'un mois, constituait un « non-événement » pour les techniciens. Selon lui, il était logique que si un groupe d'investisseurs institutionnels de long terme était intéressé par une opération d'acquisition de titres EADS, la Caisse des dépôts et consignations puisse en faire partie.
Il a ajouté qu'il n'y avait pas de moyen de connaître les lecteurs de ce mémo, ni quelles informations en auraient été retirées, mais que cette simple mention d'un intérêt de la part de la Caisse des dépôts et consignations ne méritait pas de retenir l'attention des services du ministère de l'économie, des finances et de l'industrie.