s'est dit personnellement très favorable à la généralisation de l'assurance récolte, sans exclure de la rendre obligatoire, à condition de prendre en compte la diversité des activités et des régions, ainsi que la difficulté que peuvent rencontrer les jeunes agriculteurs, les agriculteurs de montagne ou les petits exploitants pour s'assurer. Il a fait observer que, dans son département, le FNGCA n'avait rien versé à des arboriculteurs touchés par le gel au printemps 2008. Il a exprimé des réserves à l'égard d'une subvention de l'Etat, estimant que c'est par l'accroissement du nombre des assurés que le coût de l'assurance diminuerait.