Disant partager les remarques de M. Benoît Huré, M. Claude Biwer a introduit une nuance entre l'assurance de biens et celle de revenus, faisant observer qu'en l'absence de ces derniers, il n'y aurait plus d'agriculteurs. Suggérant de revenir aux prêts de calamités remboursables qui existaient auparavant, à l'instar de ce qui est pratiqué aujourd'hui au profit des banques pour leur permettre d'affronter la crise financière, il a jugé utile de subventionner les primes d'assurance pour amorcer le développement du dispositif. Enfin, il a appelé à mener une action de communication massive vis-à-vis du monde agricole pour inciter les exploitants à s'assurer.