a estimé qu'il pourrait être opportun de renforcer ce ratio en France, et en tout état de cause, de valoriser significativement la détention du capital sur le long terme. Cette approche du long terme demeurait en effet prépondérante à ses yeux, y compris dans les industries dont le cycle d'innovation était réputé court, telles que celle des semi-conducteurs, mais dont les projets d'investissement demeuraient inscrits dans des durées longues. Il a également relevé l'exemple de la société allemande Thyssen-Krupp, dont il était membre du conseil de surveillance et dont le contrôle par une fondation avait jusqu'à présent garanti l'indépendance.