a considéré que la question de l'absence d'harmonisation en matière d'impôt sur les sociétés était, pour la formation du prix de vente dans le secteur automobile, moins fondamentale que les problèmes strictement commerciaux et les distorsions en matière de TVA. Il a indiqué que l'Etat devait se montrer vigilant sur les avantages publics octroyés dans les autres Etats membres et a relevé, à ce titre, l'existence d'une « prime à la casse » en Italie, qui avait néanmoins, selon lui, sans doute moins contribué au redressement du groupe Fiat que la motivation de la nouvelle équipe dirigeante.