Il a déclaré se situer dans la continuité des positions prises par son prédécesseur, M. Jean-Martin Folz, s'agissant de la prime à la casse. Celle-ci devrait pouvoir être octroyée même en l'absence d'achat de véhicule neuf, car elle exercerait un impact positif sur le renouvellement du parc, et donc sur l'environnement. Il a également tenu à relativiser le coût de ce type de prime pour les finances publiques, souligné par M. Philippe Marini, président, et l'a évalué à quelques centaines de millions d'euros.