Puis, en réponse à une question de M. Philippe Marini, président, il a considéré que l'ensemble des constructeurs, nationaux ou étrangers, devraient pouvoir bénéficier de ce type de mesure, qui serait, selon lui, susceptible d'attirer 20 à 30 % des propriétaires de voitures anciennes. Il a admis que l'impact d'une telle prime sur l'emploi serait toutefois hypothétique.
a estimé que cette prime pourrait être jointe à une éco-taxe, bien que ce dernier impôt soit de nature à exercer un impact négatif sur l'industrie automobile ; et Mme Nicole Bricq a suggéré que la prime soit couplée à un nouveau régime de TVA.