s'est dit très sensible au fait que le ministère en charge de l'agriculture prenne conscience de cette réalité. Il a insisté sur l'existence d'un certain nombre d'élevages de plus de 100 brebis, concernant environ 200 personnes par département, dont la pérennité de l'activité se trouve menacée, en provoquant d'importants problèmes sociaux et humains. S'il a estimé possible de les gérer, il a jugé que la suppression de l'élevage ovin en France obligerait à débloquer des financements importants de remise en état des terrains fragiles et des paysages.