Puisqu'on manque de candidats aux concours, il faut susciter des vocations. Il y a peu d'étudiants en mathématiques. S'ils sont issus de milieux défavorisés, on pourra leur proposer un accompagnement, à condition qu'ils s'engagent à passer le concours. Les choses se passent très en amont, le but étant de reconstituer le vivier du concours.