Il n’y pas de bons et de mauvais, si je puis dire.
Pour quelle raison avons-nous fait cela ? Ces 500 000 jeunes, pourquoi se trouvent-ils dans une telle situation ? Monsieur Dassault, le mieux serait évidemment qu’une entreprise les accueille à bras ouverts, en leur disant : « Viens ! Je n’attendais que toi ! » §