Nous ne pourrons jouer l'un contre l'autre. S’agissant des discussions qui vont être lancées, je sais que la pression sera forte car les agriculteurs vivent actuellement une situation extrêmement difficile. On peut expliquer leurs difficultés de différentes manières, et vous l’avez fait à votre façon, monsieur le sénateur, mais eux les vivent au quotidien.
Les discussions vont s’engager dès le mois prochain ; nous devons mettre sur pied un « plan loup » permettant d’aplanir les tensions que l’on sent aujourd'hui monter. Il en va de la responsabilité du ministre de l'agriculture et du ministre de l'écologie de poser les termes d'un débat nouveau à cet égard.