Madame la ministre, je vous remercie chaleureusement de votre réponse.
La précision et la conviction dont vous avez fait montre attestent que vous avez pleinement mesuré l’ampleur du problème, qu’il s’agisse de son aspect financier ou, surtout, du grignotage des missions régaliennes de l’État, qui risque de remettre en cause, comme on peut le constater aux États-Unis, l’égalité de traitement en matière d’incarcération.
Je prends acte du fait que l’évaluation de l’emprise du partenariat public-privé dans notre parc pénitentiaire a été réalisée de façon très précise et que si les projets déjà engagés seront poursuivis, il ne sera plus recouru à cette forme de financement à l’avenir.