Je vous remercie, monsieur le ministre : j’ai bien senti dès le début de votre propos que votre détermination était totale.
Je suis bien sûr prêt à vous accompagner, vous et vos services, dans le développement des idées nécessaires à l’arrêt de cette artificialisation, qui, vous l’avez souligné, est source de craintes pour l’avenir.