Madame la présidente, madame le ministre, monsieur le président de la commission, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, trop, c’est trop !
Trop de fraudes ! Trop d’évasion fiscale ! Trop de réglementations et, partant, trop de failles bien exploitées par trop de fins limiers de l’évasion trop bien formés…
Trop de carences dans les moyens en hommes et en formation ! Trop peu de moyens pour les parquets ! Trop peu de coopération internationale ! Trop de carences dans les échanges d’informations ! Trop d’organismes trop étanches aux missions trop séquencées ! Trop de carences dans une volonté politique, nationale ou internationale…
Trop, c’est trop, et ce rapport trop volumineux de 2 000 pages en est le reflet !