Je le répète avec force, même à cette heure tardive : je suis inquiet, probablement comme une grande partie de la gauche, comme beaucoup de communistes, de socialistes, d'écologistes. Monsieur le ministre délégué, il faut entendre cette inquiétude.
Il n'y aura plus de déficits, nous-dit-on, et la compétition internationale est telle qu'il est impossible d'augmenter les impôts. Pourtant, mécaniquement, ces décisions feront baisser les dépenses d'investissement, les dépenses de fonctionnement des ministères.