Monsieur le président, madame la garde des sceaux, monsieur le ministre, mes chers collègues, je ne reprendrai pas les arguments du Gouvernement, de la commission ou de notre collègue Alain Anziani, qui ont parfaitement exposé les raisons ayant conduit au dépôt du projet de loi devant la Haute Assemblée.
Je ne détaillerai pas non plus le contenu du texte, préférant me limiter à vous faire part de quelques réflexions d'ordre général. J'ai bien entendu les recommandations de ma collègue Virginie Klès. Je veillerai donc à ne pas prononcer le mot de trop qui pourrait écarter nos collègues Jean-Jacques Hyest ou Michel Mercier de l'excellente voie qu'ils ont décidé de suivre. En les écoutant, j'en suis resté assis, …