Madame la ministre, vous pouvez vous appuyer sur la charte nationale, élaborée par Roselyne Bachelot-Narquin, pour l’amélioration de l’image des femmes dans les médias, qui visait à faire évoluer l’ensemble des instances de régulation, ce qui n’est pas toujours très simple.
Aujourd’hui, la France n’est pas encore massivement touchée par ce problème d’hypersexualisation, mais il n’existe aucune barrière qui résistera durablement aux stratégies de marketing s’appuyant sur un tel ressort. La Grande-Bretagne a fait de ce sujet une priorité nationale, portée par le Premier ministre lui-même.
Il est de notre responsabilité collective de ne pas enterrer ce sujet.