Je suis d'accord avec Mireille Schurch et Bruno Retailleau. Les débats suscités à l'Assemblée nationale par ce texte complexe se sont prolongés tard dans la nuit, jusqu'au départ d'une partie de nos collègues. Il a une cohérence, qu'il serait mauvais de mettre à mal ; puisqu'il forme un tout, repoussons de huit jours l'examen des deux titres.