A mon tour de vous remercier, au nom du RDSE, pour votre exposé. La médecine du travail et la médecine scolaire sont aussi pauvres l'une que l'autre. Les enfants ne sont pas aidés, on n'incite pas assez les victimes à s'exprimer.
Les équipes peuvent être des lieux de conflit, dites-vous. Cela pose la question du rôle et de la formation des directeurs d'école et chefs d'établissement. Les enseignants ne choisissent généralement pas leur établissement, d'où l'importance d'arriver dans une équipe accueillante et aidante.
Je suis surprise d'entendre que 39 % des élèves harcelés seraient de bons élèves. On parle plus souvent du décrochage des victimes de violence... Enfin, quid de la violence des filles ? Toutes ne sont pas des anges...