Notre masse salariale croît moins vite que l'ensemble des ressources, y compris la contribution à l'audiovisuel public. À la différence des syndicats, nous estimons que c'est la conséquence d'un bon pilotage : l'Ina, qui a su revoir son organisation financière, gère beaucoup plus finement sa masse salariale. À chaque départ en retraite, nous nous interrogeons sur la nature du poste. Nous maintenons ainsi la masse salariale en-dessous de ce que le COM autorise, afin d'orienter les ressources vers les investissements nécessaires (systèmes d'information ou climatisation).