La phase de diagnostic est assez avancée. La numérisation de ce fonds très riche (130 000 oeuvres) sera très coûteuse, car il a été dégradé par des conditions de conservation souvent mauvaises. Nous souhaitons qu'elle se fasse sur place et que l'Ina n'intervienne que sur la partie la plus complexe. Nous avons déjà commencé à traiter le fonds films de RFO, qui était très abîmé.