Néanmoins, comme j’ai déjà eu l’occasion de le dire ici lors du débat sur le TSCG et, tout à l'heure, en introduction de mon propos, la stratégie rigide « des 3 % » n’est pas la bonne. Le ministre des finances nous a demandé de le juger sur les résultats et c’est ce que nous ferons : d’ici à quelques mois, nous verrons ce qu’il en est. Le Président de la République et le Premier ministre ont parlé d’un an ou deux. Rendez-vous est pris !
Je le répète, le pire n’est jamais sûr, et nous espérons nous être trompés dans nos analyses, car l’aggravation de la crise économique, sociale et environnementale n’est de l’intérêt de personne. Si la confiance est là, elle n’exclut ni la lucidité ni l’inquiétude.