Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, notre ordre du jour appelle à débattre d’une proposition de résolution tendant à la reconnaissance de la répression d’une manifestation à Paris, le 17 octobre 1961.
Je souhaite exprimer mon sentiment en tant que président du groupe d’amitié France-Algérie, avec toute la neutralité qui s’impose à moi pour respecter la diversité de ses membres.