Des politiques permirent également, en un sens, que l’on puisse aujourd’hui tenir ce débat en luttant pour rétablir aux faits passés leur réalité. Il faut leur rendre un hommage mérité.
C’est en 1961 que Gaston Defferre, à l’époque sénateur, avait, sur ces travées, protesté de façon très vigoureuse contre cette répression brutale, que le ministre de l’intérieur de l’époque ne désavoua pas, et exigé une commission d’enquête que l’on ne permit pas.
C’est en 1997 que Jean-Pierre Chevènement, alors ministre de l’intérieur, aujourd'hui sénateur, commanda le premier rapport public évoquant la « répression très dure »...