Intervention de Kader Arif

Réunion du 8 novembre 2012 à 15h00
Journée nationale en mémoire des victimes de la guerre d'algérie et des combats en tunisie et au maroc — Vote sur l'ensemble

Kader Arif :

Monsieur le président, mesdames, messieurs les sénateurs, je veux simplement prendre acte du vote qui vient d’avoir lieu sur cette proposition de loi, sans faire de commentaire particulier. Je reste sur la ligne qui a toujours été la mienne, à savoir que l’exécutif n’interfère pas dans ce débat parlementaire.

Je veux toutefois vous remercier pour la qualité de ce débat empreint d’émotion, de conviction sur toutes les travées ; comme cela a été dit, les arguments pouvaient être entendus de part et d’autre.

Il est toujours compliqué d’évoquer les questions mémorielles. Mais, au-delà du résultat, cette discussion constituera un élément important parmi tous les débats relatifs à la mémoire de notre pays que nous aurons dans les mois et les années à venir.

Je veux aussi remercier Manuel Valls de sa présence, mais surtout de la patience qui a été la sienne, car les trois heures pendant lesquelles la discussion s’est prolongée ont été prises sur le temps qui aurait dû être consacré à l’examen de son projet de loi. Il a accepté ce retard non seulement de bonne grâce, mais surtout en comprenant tout l’intérêt des échanges que nous avons eus.

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