Je remercie M. le secrétaire d’État d’avoir rappelé la situation actuelle et les mesures déjà prises. Cependant, l’honnêteté m’oblige à souligner que, si l’on citait le montant de la retraite des élus, nos compatriotes seraient certainement surpris par la modicité des sommes en jeu. Cela mérite d’être relevé.
Je regarde maintenant l’avenir. J’ai cru un moment, monsieur le secrétaire d’État, qu’il n’allait rien se passer. Je me trompais – et je m’en réjouis ! –, puisque vous avez annoncé que des dispositions seraient incluses dans les textes à venir. Ce point des réformes futures est extrêmement important. C’est ce qui m’a conduit à poser cette question aujourd’hui.