Nous vivons heureusement dans un pays de liberté – j’espère que cela durera encore longtemps –, mais ce n'est pas à la loi de favoriser ce type de prestation. Il en va de même pour le secrétariat à domicile, madame Procaccia. Nous pourrions d’ailleurs nous retrouver sur ce point.
Et quid des cours de musique à domicile ? Que ceux qui peuvent se les payer le fassent, cela ne me gêne pas, mais qu'ils respectent le droit du travail et le droit des salariés.