Il existe donc bien aujourd'hui des produits de substitution, et un certain nombre de producteurs et de distributeurs se sont engagés à vendre des produits qui ne contiennent plus d’huile de palme ou qui en contiennent moins.
Enfin, dernière question, car vous avez sans doute tous étés témoins de l’emballement médiatique qui a fait suite au vote de cet amendement en commission : cette mesure est-elle acceptée ?
Pour répondre à cette question, je donnerai deux indications.
D’une part, je me référerai à une source que personne, à la droite de cet hémicycle, ne contestera, à savoir le journal Le Figaro.