Mes chers collègues, vous connaissez ma position : je l’ai exprimée en commission des affaires sociales lorsque j’ai pris connaissance de cet amendement et que, dans ma surprise, j’ai réagi à chaud.
Ainsi, lorsque j’entends M. le rapporteur général défendre cet amendement pendant plus de quatorze minutes, je m’interroge : au cours de l’examen des précédents articles, nous avons abordé des sujets très importants, et M. Daudigny n’a jamais pris tant de temps pour présenter et justifier les amendements de la commission. J’en conclus qu’il est très mal à l’aise !
Pour ma part, depuis mon intervention en commission, la semaine dernière, j’ai tâché de glaner ici ou là, à droite et à gauche, …