Si j’évoque ce rapport, c’est en raison de ses répercussions : personne ne peut plus voter le projet de loi de finances pour 2013 tel que le Gouvernement l’a présenté.
D’un côté, il y a ceux qui croient au rapport Gallois, qui constatent que le projet de loi de finances ne tient pas compte des préconisations qu’il contient et que, budgétairement, ces dernières ne seront effectives qu’en 2014. Comme si l’on pouvait se permettre, mes chers collègues, d’attendre 2014 !