Je comprends que cela vous gêne, mon cher collègue !
En réalité, quel est l’objet du texte que nous examinons ? La réponse paraît simple : commémorer la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats ayant eu lieu en Tunisie et au Maroc. Ceux qui s’opposeraient à un projet de mémoire si légitime ne seraient donc que d’affreux révisionnistes, niant les drames engendrés par cette guerre de décolonisation.
Mais, comme je vous l’ai indiqué précédemment, une telle journée d’hommage existe déjà depuis 2003…