Ainsi, si l’on se réfère au dernier bilan de l’État actionnaire entre l’été 2011 et l’été 2012, la valeur des sociétés cotées détenues par l’État a reculé de près de 13 %. Durant la même période, les entreprises du CAC 40 progressaient de 5 %, soit un différentiel de près de 20 % !
S’agissant des participations supérieures à 1 % que l’État détient dans une cinquantaine de groupes non cotés, les dividendes ont connu un recul de 2 milliards d’euros, passant de 7, 9 milliards d’euros à 5, 8 milliards d’euros.