Il fallait aller vite et aller fort. Je n’insisterai pas davantage sur ce point, que j’aurai l’occasion de développer au cours des jours à venir : je n’ai qu’un but, c’est que, dès le 1er janvier prochain, une fois ce collectif budgétaire adopté, les entreprises françaises puissent sans délai commencer à accumuler des créances sur l’État pour investir et embaucher, en bénéficiant de ce crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi.