La proposition de notre collègue de fixer le plafond à 50 000 euros est raisonnable et je suis prête à m’y rallier.
Comme vous l’avez dit vous-même, monsieur le rapporteur général, ces discussions de marchands de tapis ne sont pas très agréables.
Toutefois, nous nous battons pour la bonne cause, pour défendre les métiers d’art auxquels nous sommes tous très attachés – je précise d’ailleurs que nous venons de créer un groupe d’étude sur les métiers d’art au sein de la commissionde la culture, de l’éducation et de la communication.