La question est précisément de savoir ce que l’on peut faire et ce que l’on ne peut pas faire.
Une commune dont 80 % de la surface ne serait pas constructible relèverait de l’article du projet de loi résultant de l’adoption de l’amendement que je viens d’évoquer. Elle ne serait donc pas soumise à l’obligation prévue par le texte.
Par ailleurs, si la construction est possible mais difficile, il en sera tenu compte dans l’application de la pénalité.
Simplement, introduire trop d’exceptions dans le projet de loi aboutirait à réduire la portée de l’obligation de construire du logement social. Or nous voulons qu’une telle obligation soit de portée générale.