Nous allons proposer une nouvelle rédaction en ce sens. Je tiens à souligner que nous n'avancerons pas dans le sens d'une meilleure articulation des temps de vie sans la mise en place d'un véritable service public de garde.
La recommandation 23 est adoptée à l'unanimité par la délégation dans la rédaction suivante : « La délégation souhaite que le financement d'un véritable service public de la petite enfance, auquel les familles monoparentales auraient un accès prioritaire, devienne un impératif budgétaire, pour que :
- tout bébé puisse bénéficier d'une place disponible dans une crèche ou une halte-garderie, selon des horaires adaptés en fonction de son âge, des lieux de résidence et de travail des parents et de leurs heures de travail ;
- un service public de garde et de transport d'enfants malades soit institué, dans les cas où les deux parents travaillent. »
La recommandation 24 aborde la question de la dépendance.
La recommandation 24 est adoptée à l'unanimité par la délégation.
La recommandation 25 répond à votre souci de mettre les entreprises à contribution pour l'aide matérielle aux parents.
La recommandation 25 est adoptée à l'unanimité par la délégation.
Concernant la proposition de notre collègue Claudine Lepage, je vous propose d'adopter une recommandation supplémentaire visant à prévoir la désignation d'un référent égalité femmes-hommes dans les entreprises, les établissements publics et les administrations.
La recommandation 26 est adoptée à l'unanimité par la délégation.