En termes de calendrier, nous considérons qu'aucune raison ne justifie de déroger aux échéances fixées par la loi, même si nous soulignons les difficultés restant à lever, que nous continuerons à surveiller de près. Par exemple, si, en 2025, il apparaissait que le stockage des bitumes ne présente pas toutes les garanties de sûreté, nous demanderons que leur descente au fond soit différée.