Il est vrai que, avant, nous avons été freinés dans notre élan lorsqu’il s’est agi de voter !
De même, le thème du statut de l’élu aurait éclos d’un seul coup à la suite des états généraux…
Je vous le dis amicalement, chers collègues de la partie gauche de l’hémicycle : vous l’avez bien senti, l’opposition est sincèrement prête à voter le texte – du moins suffira-t-il de peu pour qu’elle le fasse –, alors, s’il vous plaît, n’essayez pas de nous provoquer en nous disant qu’avant il n’y avait rien !