Comme vous, monsieur le président de la commission des lois, je suis convaincu que les petits pas permettent d'avancer.
La question du statut de l'élu local se pose depuis des dizaines d'années, et c'est par petites touches et retouches que nous ferons progresser l'idée que les élus qui se consacrent à la gestion de leur territoire peuvent recevoir une indemnité.
En revanche, j'ai été surpris par l'argument que vous avez avancé. J’y répondrai avec précaution, car vous avez tout à l'heure reproché à vos collègues de ne pas comprendre le sens de vos propos.
Vous vous référez à 1831, aux débuts de la monarchie de Juillet.