Si des réussites incontestables ont pu être réalisées – je pense notamment à l’aéronautique –force est de constater que la technocratie bruxelloise a largement étouffé l’Europe entreprenante et industrielle des débuts.
Il est donc urgent que l’Europe de la contrainte, de la concurrence intérieure, cède la place à celle des projets communs, de la croissance, donc de la confiance, et qu’elle acquière enfin toute sa dimension politique. §