En matière fiscale et sociale en effet, beaucoup a déjà été fait. Ce qui manque, c'est un complément de rémunération, destiné à permettre aux commerçants de vivre de leur activité. Le portage du Figaro est rémunéré ad valorem, c'est-à-dire en fonction de la valeur faciale du titre. Si d'autres se joignaient à lui, la rémunération serait logistique. Son calcul doit donc être consolidé pour qu'elle soit attractive : il faudrait ajouter aux aides au portage un troisième volet à l'attention des diffuseurs de presse en boutique, ciblés de telle sorte que cela suscite une plus grande adhésion à l'activité.