Je trouve assez originale la manière dont M. Dominati présente ce dossier. En effet, si le projet du Grand Paris Express a une spécificité, c’est bien celle d’avoir fait l’objet, à un moment donné, d’un large consensus à la fois sur son principe et sur ses modalités de financement.
Seulement, la raison de ce consensus est finalement assez désagréable : le coût du projet avait été largement sous-évalué. Quand je dis largement, c’est parce qu’il manquait 10 milliards d’euros !