L’acceptation du principe, puis la création d’une taxe sur les transactions financières en France il y a un an est un progrès décisif. À cet égard, je me réjouis très sincèrement, monsieur le ministre, que le gouvernement actuel ait décidé, comme nous le souhaitions, d’en consacrer au moins 10 % au développement. Certains trouvent que c’est trop, d’autres pas assez. En réalité, c’est un début. Toutefois, il est absolument essentiel qu’un certain pourcentage soit affecté à cette politique, sinon le train ne repassera pas !
La solidarité doit mettre à contribution l’ensemble des acteurs. Le développement de la planète ne se limite pas à la seule charge des États.