Les ministères de l'agriculture, de l'outre-mer et le secrétariat général des affaires européennes seraient mieux à même de vous répondre que moi. Mon sentiment est que la France, dans cette affaire, n'a pas vu le problème venir. Elle n'a pas pris conscience assez vite que l'accroissement des volumes et de la fiscalité allait entraîner une explosion du volume des aides d'État. En outre, nous n'avions pas décidé si la cotisation de sécurité sociale, avec son plafonnement à 40 %, devait être intégrée au périmètre de l'aide. Reste à convaincre la Commission de notre totale bonne foi.