Je ne suis pas d'accord. Dès lors que nous avons adopté un amendement prévoyant que les suppléants pouvaient ne pas être de même sexe, nous sommes revenus sur une conception trop stricte de la parité ; en admettant qu'il importe peu qu'il y ait 52 % d'élus d'un sexe et 48 % d'un autre, nous autorisons chacun à concourir à l'élection partielle et l'inconstitutionnalité évoquée par M. Richard n'a plus lieu d'être.