Monsieur le ministre, vous avez très justement rappelé hier que la voix du Sénat était celle des collectivités locales. Pour l’instant tout du moins…
L’avantage, c’est que nous pouvons, les uns et les autres, faire état de nos expériences locales.
Certes, personne n’est exempt d’arrière-pensées électorales. Nous avons tous une longue expérience de la vie politique, et nous percevons bien les enjeux, y compris dans le clivage entre zones urbaines et zones rurales.
J’ai été élu pendant quatorze ans et demi d’un canton mi-urbain, mi-rural.