Toutefois, monsieur le ministre, monsieur le secrétaire d’État, la France ne peut ni ne doit être réduite à des équations, à des colonnes comptables ou à des résultats boursiers. Il s’agit ni plus ni moins des conditions de vie et de travail de nos concitoyens.
Pour justifier cette réforme, vous vous appuyez parfois sur l’exemple de nos voisins européens, …