De nouveaux critères sont à prendre en compte : l’évolution technique, l’impact environnemental.
L’activité humaine dépendra de notre capacité à limiter les pollutions, à préserver les ressources, en un mot, à penser autrement la production et la consommation, et même à envisager de « travailler moins pour travailler tous ».
Ne pas prendre en compte, dans les projections jusqu’à 2050, l’aspect environnemental et le progrès technique relève de la stupidité ou, pire, du cynisme.
Et, à propos de démographie, la réforme de 2003 n’avait-elle pas été conçue pour en tenir compte ?